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Troisième voyage aux Maldives. Je suis parti 8 jours, avec la même croisière qu'en 1997 (pour un brève
présentation des Maldives, reportez-vous à la page de 1997).
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Les bateaux |
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J'ai retrouvé avec plaisir le même bateau qu'il y a 10 ans :
le Flying fish. 26 mètres de long, 14 couchettes. Très confortable, et en particulier la partie avant du pont, où
nous prenions généralement nos repas, et où nous pouvions faire les siestes ou bouquiner, soit au soleil, soit à
l'ombre, selon nos préférences.
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Pour la plongée, nous avions un dohni ("bateau" en dhivehi, la langue des
Maldives) plus petit. Malheureusement, ce n'était pas le dohni
habituel du bateau de croisière, et nous avions un équipage pas très habitué aux plongeurs,
et donc moyennement efficace. Mais bon... nous étions autonomes : nous nous sommes débrouillés.
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Le barbecue |
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Un jour, on nous a annoncé que nous ferions
un picnic sur une île déserte le soir même. Excellente idée !
En fin d'après midi, nous étions quatre à débarquer sur l'île... pour la trouver pas
déserte du tout: au moins 6 bateaux avaient eu la même idée !!!
Nous nous sommes tout de même promenés sur l'île en attendant le soir. Mais un
orage est venu gâcher la "fête": il a fallu remettre le barbecue à un autre soir. Dans un sens, cela
nous arrangeait, car on ne se voyait pas à 70-80 personnes sur un minuscule ilôt.
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Le lendemain, donc re-belote : L'équipage a mouillé aux abords
d'une petite île, celle-là vraiment déserte.
Pendant toute la fin d'après-midi, l'équipage a dû recommencer tous les préparatifs de la
veille : décharger la nourriture, faire une sculpture dans le sable pour la déco.
Le soir venu, nous avons pu alors tous débarquer pour pouvoir profiter de cette soirée. La sculpture dans le
sable, représentant un dauphin, était destinée à nous servir de table. très sympa.
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Les îles |
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Le reste de la semaine, nous n'avons hélas visité qu'une seule île.
C'était une île habitée par des Maldiviens, mais nous n'y sommes
arrivés qu'à la nuit tombée, et donc nous n'avons pas réellement pu la visiter. Seule la rue
principale semblait éclairée, et de part et d'autre ce n'était que
boutiques à touristes, avec des souvenirs "made in Thaïland". Dommage.
Nous n'avons pas non plus visité d'île à touristes, car en général
ils demandent une taxe pour acéder à leur ponton, ce qui est un peu abusif. Nous ne les avons donc vues que de
loin.
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Mais faire du farniente sur le pont, au soleil, en fin de journée, ce n'est pas plus mal que de s'agglutiner à
une centaine de touristes.
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Dernier jour |
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Le dernier après midi, nous avons pris notre temps, car ne pouvantpas plonger (à
caude de l'avion du lendemain, nous n'avions rien departiculier à fair avant d'aller visiter la capitale. Nous avons
alors "échappé" à une tornade (en fait elle est passée loin de nous). Phénomène
étrange : elle s'est désagrégéavant d'arriver sur une île, pour se reformer après
l'avoir dépassée.
Dans le même temps, un banc de dauphins est venu jouer à quelques encâblures du bateau. Spectacle
toujours captivant.
En fin d'après-midi, nous sommes arrivés en vue de Malé, la capitale. Après
une semaine de mer, à ne voir que de l'eau et quelques iles de sable blanc, cela fait un
drôle d'effet de revoir des immeubles.
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Nous avons commencé par longer le port, dont l'activité n'était pas débordante
(l'arrivée des poissons doit se faire un peu plus tôt dans la journée). Et d'ailleurs, même au
niveau du marché aux poissons, nous avons pu constater que l'activité baissait petit à petit.
Le marché aux fruits et légumes, lui, était un peu plus animé. Nous avons
fait ensuite un peu le tour de l'ïle (qui n'est pas très grande), avant de reprendre un petit bateau-bus pour
revenir passer la dernière nuit sur notre bateau.
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