Pour ces 15 jours de vacances, en Décembre 2008, nous avons voulu faire un petit combiné entre l'île de La Réunion et une petite île de Madagascar: Tsarabanjina.

La Réunion

Nous avons voulu commencer ces vacances par du repos. Nous avions donc réservé un logement à Saint-Gilles pour 4 jours (c'est juste à côté de notre bungalow que nous avons vu ce petit curieux à droite).

Grâce à une amie, sur place, qui nous avait prêté sa voiture, nous avons pu faire des petites balades dans les environs.

Cela faisait longtemps que je voulais essayer le parapente. Mais jusque-là, je m'étais dégonflé, car j'ai le vertige, et le décollage me faisait flipper.
Mais cette fois-ci, je me suis dit que le cadre était trop beau, et je me suis lancé. Je dois dire que je n'ai pas été déçu. Pour ce baptême, j'ai fait un vol en biplace, avec un moniteur qui dirigeait tout. Le décollage s'est fait en douceur : je n'ai eu que 4 ou 5 foulées à faire sur une pente très douce, et on s'est retrouvés tout de suite en l'air. Le survol des pentes de l'île et du lagon était magnifique, et nous avons croisé quelques autres parapentistes, ainsi qu'un paille-en-queue (l'oiseau emblématique de La Réunion). L'atterrissage s'est également déroulé sans problème : en souplesse, et en ne courant que sur une très courte distance. Tip top.

Ce jardin botanique est situé juste au bord de la route qui passe à la Saline (à côté de Saint Gilles).
Il est asses grand, et plutôt bien fourni en espèces tropicales.
Avec un peu de chance, vous pourrez même y voir quelques endormis (l'apellation locale des caméléons) cachés dans les feuillages. Cette-fois-là, nous n'avons pas eu cette chance; juste deux lézards. Ce n'est que partie remise. Nous y retournerons certainement un jour.

Un après-midi, nous sommes monté aux Colimaçons (le village situé au-dessus de Saint-Leu). Nous y avons assisté à une conférence sur l'historique des plantes "utlitaires" de La Réunion.
Nous avons appris à l'occasion la différence entre une plante exotique (importée par l'homme), une plante indigène (présente l'arrivée de l'homme) et une plante endémique (présente uniquement à un endroit du globe).
La conférence se déroulait dans les jardins de l'habitation, et notre guide nous montrait les espès sur lesquelles portait son discours. Cette promenade nous a d'ailleurs permis d'observer un caméléon femelle, qui se trouvait sur le toit d'une cabane.

Avant et après cette conférence, nous avons pu visiter l'habitation du domaine, ainsi que les jardins.

Le lendemain, nous retournions à Saint-Denis, pour prendre notre avion vers la suite de notre voyage : Tsarabanjina