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Comme dans beaucoup de mégapoles, Kuala Lumpur recèle plusieurs quartiers où se regroupent diverses communautés. Notre hôtel se situait à côté du quartier chinois (à droite : une pharmacie qui vend des nids d'hirondelles et des hippocampes séchés, entre autres...).
Non loin se situe un petit quartier indien, avec ses maisons très colorées.
Lors de notre court séjour, nous sommes allés visiter un autre quartier indien, plus grand, et qui comprenait de nombreux commerces, et également un marché couvert. Principalement des marchand de vêtements et de tissus.

Pour toutes ces communautés religieuses, il fallait bien évidemment des lieux de culte.

Le temple hindou se repère de loin, car aux alentours il y a beaucoup de vendeurs de colliers et d'offrandes.
À l'intérieur, l'ambiance est assez décontractée, comme le montre la photo de droite, où les brahmanes jouent avec leur téléphone mobile.

Dans le temple chinois, l'ambiance est plus méditative, plus recueillie. La multiplication des bâtons et spirales d'encens génère une atmosphère qui s'y prête peut-être d'avantage (atmosphère, atmosphère, ...)

Au cœur de la ville est des immeubles, nous avons vu un temple qui pourrait ressembler à une mosquée, avec ses minarets. Mais avec un style un peu hindou, nous n'avons pas su à quelle communauté ce temple était destiné (nous n'en avons pas trouvé l'entrée).
Nous avons alors voulu visiter une grande mosquée. Mais outre qu'elle était situé très à l'écart du centre-ville (et qu'il nous a fallu une bonne heure pour y aller), nous sommes tombés en dehors de l'heure des visites, et nous n'étions visiblement pas les bienvenus. Nous n'avons seulement pu qu'en faire le tour, avant de rentrer en ville.

Afin de se préserver un peu, nous alternions visites de la ville (un peu fatigant) et visite de parcs dédiés à la nature.
À côté du jardin aux papillons et de celui aux oiseaux se trouve le jardin aux orchidées.
Il n'est pas bien grand, mais procure un peu de repos et de fraîcheur relative après la moîteur de la ville.

On y trouve beaucoup d'espèces différentes, et on peut même ramener des cultures, en bocal, pour essayer d'avoir chez soi des espèces qu'on trouve plus difficilement en France.

Une des curiosités des transports de Kuala Lumpur : le monorail. Une fois dedans, c'est exactement comme n'importe quel métro, mais l'aspect est inhabituel, outre le fait que son parcours soit aérien et non enterré.

Le premier soir à Kuala Lumpur, nous sommes allés au pied des tours Petronas, qui sont parmi les plus hautes du monde. Nous y sommes retournés le lendemain pour monter sur la passerelle qui se situe à mi-hauteur, mais la vue n'y est pas si extraordinaire que ça. À mon sens, elles sonts plus belles la nuit.

Après quelques balades dans la ville, nous avons voulu aller voir la tour de la radio, située sur une colline. Nous avons eu un peu de mal à trouver l'entrée du parc qui entoure la tour. Mais ça valait le coup : un peu de nature dans cette mégapole, ça fait du bien. Outre quelques bambous royaux, nous avons eu la surprise de croiser le passage d'une troupe de singes semnopithèques argentés (Presbytis cristata). Par endroits, ce parc est aménagé avec des aires de picnic, et ces singes, en liberté, semblaient très à l'aise sur l'une d'elles.
Arrivés au pied de la tour, et après une journée de marche dans la ville, nous nous sommes reposés les pieds en attendant la tombée de la nuit. En effet, depuis le sommet de la tour, on a une vue panoramique sur l'ensemble de la ville et en particulier sur les fameuses tours Petronas